Nom de l’auteur/autrice :Cristina

potato-planet
2024, Chroniques de marché

Chronique de marché pomme de terre juillet 2024

Auteur de publication : Yves Le Bouëdec – Maison Levesque SARL Chronique de marché pomme de terre juillet 2024 Toutes les chroniques de marché Nous voici partis pour une nouvelle saisonde pomme de terre de consommationen commençant par les primeurs qui arriventà maturité avec une à deux semaines de retarden fonction des régions, les volumes conséquentsarrivant mi-juillet. Le marché est dynamiqueet bien orienté en prix.En effet, le phénomène météorologique,ce printemps dit de “la goutte froide”,bloqué par deux anticyclones, a largement perturbéle cycle des plantations jusqu’à mi-juin voire fin juinpour certaines régions. L’implantation tardivedans des sols froids ou gorgés d’eau a provoquédes problèmes de levée. Ceci risque d’avoirdes incidences sur le rendement.Les précipitations cumulées depuis octobre sontexcédentaires de 10 à 50 % ssur la majeure partie du pays d’après Météo France. On passe d’un printemps 2023 sec à une situation 2024 totalement inversée. Est-ce une tendance ? Rien n’est moins sûr. Quoi qu’il en soit, la pression mildiou est importante et oblige à un passage régulier de protection. Cependant, pour les parcelles implantées tôt, on imagine un potentiel de rendement intéressant. Enfin, nous surveillerons l’appétit des transformateurs pour la rentrée 2024. Ce sont eux qui donneront le tempo de la saison à venir. Dans l’immédiat, nous applaudirons nos athlètes engagés sur ces Jeux olympiques français. Qu’ils aient la patate ! Vive le sport ! Télécharger le pdf de la chronique

potato-planet
2024, Chroniques de marché

Chronique de marché pomme de terre mai 2024

Auteur de publication : Jérôme Bonnier – Ets Jérôme Bonnier Chronique de marché pomme de terre mars 2024 Toutes les chroniques de marché La commercialisation de la campagne en cours est bien avancée. Les lots encore disponibles sont proposés à des prix soutenus. Ils trouvent preneur sur le marché libre à un rythme moyen à normal. La qualité annoncée doit être bien en phase avec le prix offert. Beaucoup de discussions s’invitent à la réception autour des produits surévalués… Les stocks sont conformes pour la période du moment. Quelques régions ont des bâtiments quasiment vides. D’autres peuvent encore alimenter le marché pour un certain temps. Sur le marché, l’Espagne, l’Italie ont 15 jours de retard pour les plantations. Ils sont toujours à la recherche de très beaux lots à un prix stabilisé depuis deux mois. Le Portugal connaît un marché stable dans la mesure où les offres sont au bon prix. Les premières pommes de terre d’Égypte sont présentes en Allemagne, Espagne et Italie. Les lots surcotés, pourtant, ne trouvent pas preneur. Au bon prix, les acheteurs sont là. En Israël, la récolte devrait commencer vers le 15 avril. La météo capricieuse a obligé à étaler les plantations sur deux mois. Concernant les plantations 2024 sur le territoire français, les livraisons de plants sont en cours avec des manques pour certaines variétés. La Bretagne a commencé à planter vers le 10 mars sans arrêt depuis jusqu’à ce jour. Les premières parcelles ont été bâchées. Marmande et les quelques petites régions hâtives françaises devraient démarrer ce week-end. L’industrie lourde est en cours d’exécution de ses contrats. Les achats sur le libre sont à des prix soutenus. Y aura-t-il suffisamment de produits ? Télécharger le pdf de la chronique

potato-planet
2024, Chroniques de marché

Chronique de marché pomme de terre mai 2024

Auteur de publication : Jérôme Bonnier – Ets Jérôme Bonnier Chronique de marché pomme de terre mars 2024 Toutes les chroniques de marché La commercialisation de la campagne en cours est bien avancée. Les lots encore disponibles sont proposés à des prix soutenus. Ils trouvent preneur sur le marché libre à un rythme moyen à normal. La qualité annoncée doit être bien en phase avec le prix offert. Beaucoup de discussions s’invitent à la réception autour des produits surévalués… Les stocks sont conformes pour la période du moment. Quelques régions ont des bâtiments quasiment vides. D’autres peuvent encore alimenter le marché pour un certain temps. Sur le marché, l’Espagne, l’Italie ont 15 jours de retard pour les plantations. Ils sont toujours à la recherche de très beaux lots à un prix stabilisé depuis deux mois. Le Portugal connaît un marché stable dans la mesure où les offres sont au bon prix. Les premières pommes de terre d’Égypte sont présentes en Allemagne, Espagne et Italie. Les lots surcotés, pourtant, ne trouvent pas preneur. Au bon prix, les acheteurs sont là. En Israël, la récolte devrait commencer vers le 15 avril. La météo capricieuse a obligé à étaler les plantations sur deux mois. Concernant les plantations 2024 sur le territoire français, les livraisons de plants sont en cours avec des manques pour certaines variétés. La Bretagne a commencé à planter vers le 10 mars sans arrêt depuis jusqu’à ce jour. Les premières parcelles ont été bâchées. Marmande et les quelques petites régions hâtives françaises devraient démarrer ce week-end. L’industrie lourde est en cours d’exécution de ses contrats. Les achats sur le libre sont à des prix soutenus. Y aura-t-il suffisamment de produits ? Télécharger le pdf de la chronique

potato-planet
2024, Chroniques de marché

Chronique de marché pomme de terre mars 2024

Auteur de publication : Jérôme Bonnier – Ets Jérôme Bonnier Chronique de marché pomme de terre mars 2024 Toutes les chroniques de marché La commercialisation de la campagne en cours est bien avancée. Les lots encore disponibles sont proposés à des prix soutenus. Ils trouvent preneur sur le marché libre à un rythme moyen à normal. La qualité annoncée doit être bien en phase avec le prix offert. Beaucoup de discussions s’invitent à la réception autour des produits surévalués… Les stocks sont conformes pour la période du moment. Quelques régions ont des bâtiments quasiment vides. D’autres peuvent encore alimenter le marché pour un certain temps. Sur le marché, l’Espagne, l’Italie ont 15 jours de retard pour les plantations. Ils sont toujours à la recherche de très beaux lots à un prix stabilisé depuis deux mois. Le Portugal connaît un marché stable dans la mesure où les offres sont au bon prix. Les premières pommes de terre d’Égypte sont présentes en Allemagne, Espagne et Italie. Les lots surcotés, pourtant, ne trouvent pas preneur. Au bon prix, les acheteurs sont là. En Israël, la récolte devrait commencer vers le 15 avril. La météo capricieuse a obligé à étaler les plantations sur deux mois. Concernant les plantations 2024 sur le territoire français, les livraisons de plants sont en cours avec des manques pour certaines variétés. La Bretagne a commencé à planter vers le 10 mars sans arrêt depuis jusqu’à ce jour. Les premières parcelles ont été bâchées. Marmande et les quelques petites régions hâtives françaises devraient démarrer ce week-end. L’industrie lourde est en cours d’exécution de ses contrats. Les achats sur le libre sont à des prix soutenus. Y aura-t-il suffisamment de produits ? Télécharger le pdf de la chronique

potato-planet
2024, Chroniques de marché

Chronique de marché pomme de terre janvier 2024

Auteur de publication : Frédéric Laviron – Roussineau SA Chronique de marché pomme de terre janvier 2024 Toutes les chroniques de marché Il paraît que l’homme a besoin de repères pour avancer ; force est de constater que les points cardinaux ont évolué cette année. Le ponant et le levant ont rejoint le méridien pour donner à cette campagne une allure de course folle vers… ? Les raisons sont multiples et variées : les conditions pédoclimatiques de l’année 2023, les réglementations phytosanitaires et environnementales toujours plus contraignantes, la demande de pomme de terre pour transformation et la moindre disponibilité de plant sont autant d’éléments perturbateurs ou, en l’état, incubateur d’anxiétés et d’incertitudes pour les acteurs du marché. Il est même étrange d’écrire ces lignes alors que la demande est active, les prix particulièrement soutenus dans un marché export dynamique. Tous les voyants sont au vert… Un vert éclatant ! Une part de l’analyse tient au fait que, si la production française et européenne fut globalement plus importante cette année par rapport à N-1, il semble que les ventes de début de campagne à des prix élevés ont contribué à limiter les stocks réels. Je, tu, il, nous spéculons, jamais nous n’avons connu telle situation si tôt en saison. Sans repère vraiment ! Il y a plusieurs théories sur l’évolution du marché de notre cher tubercule ; celle à laquelle on pense, celle à laquelle on croit, celle à laquelle on rêve et qui nous laisse sur le bord du chemin… « L’homme a besoin de ce qu’il y a de pire s’il veut parvenir à ce qu’il a de meilleur » écrivait Friedrich Wilhelm Nietzsche. Télécharger le pdf de la chronique

potato-planet
2022, Chroniques de marché

Chronique de marché pomme de terre novembre 2022

Auteur de publication : Frédéric Laviron-Roussineau SA Chronique de marché pomme de terre janvier 2023 Toutes les chroniques de marché Télécharger le pdf de la chronique Rarement dans l’histoire du marché du frais que je partage avec toi, tu ne m’auras laissé aussi dubitatif… Je ne sais trop quoi penser de toi : ta production européenne fut limitée et pourtant je t’exporte à un rythme soutenu en début de campagne vers nos marchés traditionnels et pays de l’est dont la demande n’a pas faibli ; tout pourrait me laisser croire que, cette année encore, ce sera ton année et ton prix reste élevé ; tant mieux ! Mais tu me caches quelque chose… Regarde-moi par tes lenticelles. Ta qualité est loin d’être exceptionnelle. Depuis plus d’un mois, la palette de tes prix sur le marché du frais n’a fait que s’élargir. Je me suis vite aperçu que la demande en qualité intermédiaire était plutôt faible et qu’au regard de mes coûts de stockage, je devais vite me débarrasser de toi. Les transformateurs te courtisent pour la prochaine campagne et leur hotte fut bien pleine à Noël. De ce fait, je ne sais plus quoi planter : plants ? frais ? industrie ? Et ce qui était une réalité l’année dernière devient une vraie tendance cette année ; ta consommation en frais marque à nouveau le pas. Les contraintes techniques et environnementales qui pèsent sur ta production (moins de phytos), la difficulté et les coûts quelquefois astronomiques pour maintenir ta qualité en frigo et enfin le risque que tu représentes en termes de marché par rapport à d’autres cultures, tout cela réuni, peut amener un changement profond du visage de ta production. Mais cher tubercule, puisque c’est à toi que je parle, je crois en toi et sache que les idées ne manquent pas pour t’adapter, car tes atouts sont exceptionnels : produit de première nécessité plébiscité par le consommateur, au vaste marché, à la recherche variétale dynamique. Tu me fais un peu penser à un bateau dans la tempête… mais le capitaine est un expert et connaît la mer. Alors bon vent en 2023 ! Bonne et heureuse année à vous.

potato-planet
2022, Chroniques de marché

Chronique de marché pomme de terre mai 2022

Auteur de publication :Silvana Paolozzi – Ets Jacques Albert Chronique de marché pomme de terre mai 2022 Toutes les chroniques de marché En cette campagne, sous le spectre de la guerre qui semble avoir mis un frein sur les ventes, la demande industrielle est restée cependant très ferme sur le marché. Après le grand calme du premier trimestre le dynamisme est enfin revenu, un bon courant d’affaires est présent sur les pays de l’Est, l’Espagne, l’Allemagne. Dans la continuité de cette fin de campagne, le marché reste actuellement actif avec l’Italie qui semble sur la fin y porter plus d’intérêt. Hélas, on racle les fondsde tiroir mais la qualité n’est plus au rendez-vous, les lots de pommes de terre de bonne qualité se font rares. Les prix sont à la hausse en raison de la rareté du produit mais il faut prendre conscience que les prix n’ont pas vraiment décollé cette campagne ; en cause notamment, ce niveau de qualité qui ne correspond plus à certains marchés devenus de plus en plus exigeants. Les pronostics pour cette nouvelle campagne se montrent un peu plus optimistes : en effet, le NEPG indique une baisse des emblavements d’environ 10 %, sans compter que la guerre en Ukraine peut réserver des surprises. Il y a aussi le grand suspense, “la sécheresse”, qui nous guette et nous inquiète, car certains départements sont déjà en alerte avec un printemps sans réserve hivernale pour permettre de lutter contre celle-ci. L’année s’annonce ainsi avec de grands bouleversements et des remises en question pour certains, compte tenu des augmentations énergétiques, de la situation politique, économique et climatique. Télécharger le pdf de la chronique

potato-planet
2022, Chroniques de marché

Chronique de marché pomme de terre mars 2022

Auteur de publication : Jérôme Bonnier – J B Grains SARL Chronique de marché pomme de terre mars 2022 Toutes les chroniques de marché Les professionnels doivent se réinventer tous les ans : il y a eu le covid puis le télétravail, le Brexit, l’année de repos des terres en Israël et désormais, le conflit en Ukraine. Avec toutes ces perturbations, la filière a bien du mal à retrouver un élan. Le conflit en Ukraine fait prendre conscience que notre modèle globalisé de profit, prôné par les géants, peut s’écrouler en un claquement de doigts. Matières premières, gaz, bois, grain, huile, intrants, semences… bien des matières indispensables à notre équilibre passent ou viennent de ce pays. Notre modèle économique d’approvisionnement à bon marché s’effondre. Les producteurs se retrouvent confrontés à un choix économique majeur pour la survie de leurs exploitations : produire des légumes gourmands en main-d’oeuvre (difficile à trouver), matériel, temps, énergie pour la production et la transformation ou se reporter sur des céréales bien rémunérées. Pour certains, le choix a été très vite trouvé, avec la pomme de terre d’industrie et le grain. Prix plus rémunérateurs, conditions de stockage simple et critères de qualité plus souples, les surfaces dédiées à l’industrie progressent et celles dédiées au marché du frais devraient être en baisse. Les exigences de qualité de ce débouché étant de plus en plus draconiennes et de moins en moins rémunératrices, il n’est pas impossible que l’offre se réduise, entraînant un prix de marché plus soutenu, voire très soutenu. En attendant, les ventes en GMS stagnent ou régressent, nos clients espagnols, et italiens importent moins, l’Italie augmente légèrement… Reste à voir l’impact du coût des carburants sur cesdestinations. Si les Ukrainiens ne sèment pas de pommes de terre, ni d’oignons et encore moins de tournesol, tout notre modèle risque d’être très fortement remisen question. Les plantations de primeurs françaises sont en cours de réalisation. Les premières bretonnes devraient arriver vers le 1er juin. Il est signalé des plantations également en Beauce à mi-mars. Soyons positifs : les populations, déplacées ou non, devront être nourries et la pomme de terre fait tout de même parti de l’alimentation de base. Compte tenu de ces changements, il risque d’y avoir du sport pour trouver des pommes de terre sur le marché libre la saison prochaine. Télécharger le pdf de la chronique

potato-planet
2020, Chroniques de marché

Chronique de marché pomme de terre septembre 2020

Auteur de publication : Jean Marc Storper – SARL Maison Mendel Chronique de marché pomme de terre septembre 2020 Toutes les chroniques de marché Il est bien difficile de faire des prévisions dans ce contexte de crise sanitaire… Mais il est certain que le retour du Covid en France et aux quatre coins de l’Europe ralentit l’activité économique. Notre marché en pâtit tout naturellement, et tout d’abord la restauration et le snacking qui ont réduit au moins d’un tiers l’activité négoce à destination industrielle. Les premières faillites de structures de négoce à destination industrielle au Benelux sont annonciatrices, n’en doutons pas, de faillites à venir. Soyons prudents et vigilants. Gare à l’effet domino, qui pourrait bien faire des victimes collatérales sur le marché du frais. Dans ce contexte, le climat sec et trop chaud persistant complique les arrachages dans le Nord. Le marché domestique est calme, les marchandises arrachées trop précocement ont du mal à trouver preneur. Les promos de rentrée en Bintje non lavées rythment le marché en GMS. Il faudra user de pédagogie pour faire admettre que la Bintje est sur sa fin de vie. Le vrai 7,5 en Beauce étant de plus en plus rare au fil des arrachages (dartrose, rouille, etc.), on assiste à un petit raffermissement des cours ces derniers jours.A-t-on touché le fond ? Malgré les problèmes de logistique toujours présents à cette époque de l’année, et qui prennent encore plus d’importance vu les cours actuels de la pomme de terre, l’Espagne reste un client fidèle à la France. Elle est toujours friande de beaux lots lavables en 7,5 aptes à être stockés, ainsi qu’en non lavées en Spunta et variétés à chair blanche notamment. L’export sur les pays du Golfe a redémarré en temps et en heure. Mais dans ce contexte de crise sanitaire, il est difficile d’être optimiste quant au marché des produits orientés initialement à l’industrie, ce qui risque de plomber les cours du basique sur le marché du frais. Encore et toujours, la qualité CAT I (ou la couleur 7,5) sortira son épingle du jeu… Mais attention à la sélection des lots à stocker en frigo ! Télécharger le pdf de la chronique

potato-planet
2019, Chroniques de marché

Chronique de marché pomme de terre septembre 2019

Auteur de publication : Jean-Marc Storper – SARL Maison Mendel Chronique de marché pomme de terre septembre 2019 Toutes les chroniques de marché Les flonflons de la campagne précédente se sont bel et bien éteints. Les prix restent soutenus à des niveaux très corrects pour une période d’arrachage à cause d’une sécheresse persistante. Le marché libre est calme, les opérateurs chargent leurs contrats. L’industrie qui s’approvisionne en Angleterre ou en Hollande (où les cultures ont été plus arrosées) joue la baisse en France, affichant volontairement des cours irréalisables. Les promos de rentrée ont du mal à se réaliser, vu les conditions d’arrachages impossibles. Faute de Bintje, quelques opérations se réalisent en variétés hâtives… Mais il va falloir se faire à l’idée en France que la Bintje disparaît peu à peu ! Dure réalité pour le consommateur final qui s’en est souvent régalé depuis sa plus tendre enfance. L’export est au rendez-vous ! L’Espagne et l’Italie sont là autant en lavable qu’en conditionné, lavé ou pas. Dans ce contexte de sécheresse, la grenaille (de chair ferme notamment) semble bizarrement être le produit le plus recherché. La grosse question maintenant est : « Quand viendra la pluie salvatrice qui permettra aux Hauts-de-France et à la Belgique d’arracher dans de bonnes conditions ? Que va-t-on arracher, et saurons-nous les conserver ? » Nous ne le saurons que fin novembre comme à l’accoutumée, sauf si l’anormalité climatique arrive définitivement à perturber notre calendrier. Bon début de campagne à tous ! Télécharger le pdf de la chronique